Ponts thermiques et RT2012 : comment les rupteurs Schöck limitent les risques

La RT2012 veut limiter la consommation en énergie des bâtiments en garantissant entre autre une isolation performante du bâtiment. En France, où l'on construit majoritairement en isolant par l'intérieur, des ponts thermiques se créent là où l'isolation est interrompue : à la jonction entre la dalle et le balcon, ainsi qu'à celle entre la dalle et la façade. Des déperditions de chaleur ont donc lieu dans cette espace.



La surconsommation d'énergie est la conséquence la plus notable de ce phénomène et celle combattue par la RT2012. En effet, un mètre de ponts thermiques non-traité, c'est 77 Kwh de consommation supplémentaire par an soit 10 l de fioul et 5 kg de CO2 rejetés dans l'air.Un effet qui va à l'encontre de la facture de chauffage des ménages mais aussi de la protection de l'environnement. Pour un immeuble de 3 étages non-traité (700 ml de ponts thermiques), c'est ainsi 6000 m3 de gaz supplémentaires qui sont consommés par an.
La solution rupteurs est d'ailleurs majoritairement choisie par les bailleurs sociaux puisque le rupteur permet de maitriser et même de réduire les charges qui pèsent sur les locataires. C'est définitivement une solution pérenne : le rupteur est mis en place lors de la construction du bâtiment et a la même durée de vie que le logement, il ne génère aucun coût d'entretien, ni coût de fonctionnement ou de remplacement.

Mais l'absence de traitement des ponts thermiques entraine également une détérioration de l'homogénéité de l'isolation globale du bâtiment, accentuant de fait la dégradation de la température ressentie pour les habitants, puisqu'à l'approche du balcon ou du mur extérieur une sensation de froid se fait sentir au sol, et accroit la sensation d'inconfort.
Par ailleurs, le passage de la chaleur vers l'extérieur entraine le développement de points de rosée à l'origine des moisissures dans les murs et plafonds.
De plus, l'inhalation de spores dégagées par ces moisissures peut être à l'origine d'allergies telles que l'asthme et l'eczéma ou la multiplication de rhinites et de problèmes respiratoires chez les habitants.

Le dernier risque est que ces nouvelles constructions vont nécessiter une rénovation dans les 5 à 10 ans à venir. En n'étant pas rigoureux sur les choix de conception, ces immeubles deviendront bien rapidement obsolètes face à la règlementation.
Dès lors, toute intervention ultérieure se révèlera très onéreuse puisque le prix d'une refonte de la façade pour renforcer son isolation est bien supérieur au coût de remplacement d'une chaudière.

Afin d'assurer une isolation optimale des bâtiments, les rupteurs de ponts thermiques s'imposent comme la solution idéale depuis l'entrée en vigueur de la RT2012. Les rupteurs Schöck Rutherma® spécialement développés pour la France en ITI comme en ITE, permettent de traiter les ponts thermiques avec des performances 3 fois supérieures à celles imposées par la règlementation actuelle. Installer des rupteurs Schöck, c'est donc respecter le principe de la RT2012 et anticiper les règlementations de demain !

Schöck Rutherma® est une solution produit efficace, durable et qui ne demande aucun entretien. Cette isolation très performante est composée d'armatures légères en acier inoxydable et en acier HA qui reprennent les efforts de la dalle et du balcon. En plus des liaisons béton/béton, ce modèle est également performant pour isoler les liaisons béton/bois, béton/acier et acier/acier.

Schöck France est une filiale de Schöck Bauteile GmbH, fondée en 1962, qui développe, produit et commercialise des éléments et systèmes de construction innovants pour les constructions en béton et en maçonnerie. L'entreprise allemande offre des solutions à la pointe des technologies actuelles dans le domaine de l'isolation thermique et acoustique, qui améliorent la qualité globale des bâtiments. Schöck s'est implantée dans nombre de pays européens, au Canada et aux Emirats Arabes Unis, et exporte à l'international.