Ponts thermiques : jusqu'à 85 % de déperditions en moins

Les déperditions liées aux ponts thermiques représentent 30 à 40 % des déperditions par les parois d’un immeuble collectif. Dans le cas le plus courant, c’est-à-dire de l’isolation par l’intérieur, les principales pertes se trouvent aux jonctions dalle/façade, dalle/refend, dalle/balcon et des acrotères.



La société Schöck a inventé, en 1983, le rupteur de pont thermique de structure. Ce procédé intégré au bâti, donc sans entretien, permet de réduire considérablement les ponts thermiques. Les conséquences : une réduction immédiate des dépenses d’énergie et, à long terme, la pérennité du bâtiment. Cette solution largement utilisée dans toute l’Europe et sous avis technique du CSTB se développe rapidement en France.



Le principe du rupteur de pont thermique Schöck Rutherma® est simple : en assurant la continuité verticale de l’isolation au niveau des liaisons entre dalles, refends ou balcons et la façade, il supprime les principales sources de déperdition thermique. Les résultats sont éloquents : jusqu’à 85 % de déperditions en moins pour les liaisons dalle/façade.
Le rupteur de pont thermique Schöck Rutherma® est constitué d’un corps isolant traversé d’armatures en acier inoxydable reprenant les sollicitations de structure. Les éléments, fabriqués en usine, sont spécifiquement adaptés à l’épaisseur de la dalle et aux contraintes liées à la portée de la dalle.

En complément de cette gamme de rupteurs de pont thermique pour structure en béton, Schöck propose également un rupteur de pont thermique pour la construction métallique Schöck Isokorb® KST .