La cloison en plaques de plâtre, que ce soit en rénovation ou en construction neuve, permet de délimiter un espace. Pour se faire, il est nécessaire d’avoir une ossature métallique, des plaques de plâtre et un isolant à insérer entre les plaques. C’est une méthode dite de cloison sèche.
Les types de plaques de plâtre
En fonction de la destination de la cloison, différents modèles de plaques existent :
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plaques standards (blanches)
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plaques hydrofuges (vertes)
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plaques résistantes au feu (roses)
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plaques phoniques (bleues)
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plaques charges lourdes / chocs (grises)
On note aussi plusieurs épaisseurs :
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le BA 10 : épaisseur de 10 mm
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le BA 13 : épaisseur de 13 mm
En 2 largeurs : 90 ou 120 cm.
En plusieurs hauteurs : 250, 260, 280 ou 300 cm.
La pose
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Avant d’effectuer la pose de la cloison, il faut déterminer son emplacement au plafond, aux murs et au sol ainsi que l’ouverture pour la porte.
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L’étape suivante sera de monter l’ossature métallique. Pour cela, il faudra fixer un rail au sol (sauf au niveau de la porte) ainsi qu’au plafond.
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Les montants devront être fixés aux murs et emboîtés dans le rail du haut et celui du bas.
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Pour les montants intermédiaires, ils doivent être disposés tous les 60 cm et emboîtés dans le rail haut et bas.
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Installer les montants pour la porte auxquels viendra se fixer le bloc-porte.
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Découper les plaques et les poser sur la première face de la cloison, faire passer l’électricité et l’isolant, puis poser les plaques sur la deuxième face de la cloison.
Les finitions
Une fois posée, la cloison nécessite quelques travaux de finition comme l’étalage d’un enduit puis la pose de bandes à joint qui devront être recouverte d’une nouvelle couche d’enduit. Une fois sec un ponçage sera à effectuer afin de lisser et recouvrir parfaitement la jointure des plaques.