Pourquoi traiter les ponts thermiques des logements collectifs avec des rupteurs ?
Parce qu'ils peuvent représenter plus de la moitié des déperditions par les parois dans un bâtiment isolé et engendrent une augmentation des coûts d'exploitations !
Les conséquences négatives d'un pont thermique non traité sont multiples :
- surconsommation d'énergie
- inconfort dû à la sensation de froid
- risque d'apparition de moisissures, condensation et détérioration de la qualité de l'air intérieur
Le traitement des ponts thermiques avec les rupteurs Schöck Rutherma® permet :
- de réaliser des économies d'énergie
- d'assurer un meilleur confort intérieur de l'habitat
- de garantir la pérennité du bâti
Avec comme solution phare
Rutherma®, sous avis technique du CSTB en ITI, Schöck s'affirme aussi comme seul fabricant à bénéficier d'un AT en ITE, ITR y compris en zones sismiques.
Adaptée à tous types de constructions, aussi bien les
logements collectifs (HLM, promotion privée...) que les
ERP (hôpitaux, écoles, collèges et lycées, centres commerciaux, etc.), la gamme Schöck Rutherma® garantit une haute performance thermique des bâtiments, sans contraintes architecturales.
Les rupteurs permettent de réduire jusqu'à 85 % les déperditions énergétiques générées par les ponts thermiques.
Retour d'expérience avec Le Mouvement Perpétuel à Rennes : 40 logements sociaux passifs labélisés Maison Passive France.
Une réalisation signée du cabinet Anthracite Architecture 2.0, avec pour Maître d'ouvrage Espacil Habitat, pour laquelle Schöck est intervenu en mettant en œuvre des rupteurs Schöck Rutherma® type Q, pour traiter les liaisons avec un balcon sur appuis.
Plus d'une centaine de rupteurs a été ainsi mis en œuvre au niveau des liaisons mur-dalle loggia (40 loggias au total), pour garantir, d'une part, l'isolation du bâtiment là où celle-ci serait interrompue par une liaison structurelle entre la dalle intérieure et la dalle de loggia, et pour reprendre, d'autre part, l'effort de cisaillement ou effort tranchant. Les rupteurs Schöck Rutherma® type Q se distinguent par leur valeur Psi de 0,14 W/mK, un atout déterminant pour l'obtention du label Passivhaus pour ce projet.
En plus d'isoler thermiquement, les rupteurs Schöck Rutherma® type Q font valoir leur efficacité acoustique grâce à leur certification CERQUAL obtenue en 2016, relative au traitement des bruits de chocs des coursives extérieures : un avantage fort appréciable en logement collectif.
Au final, grâce à l'ITE et la pose de rupteurs, associées aux performances d'un triple vitrage et d'une VMC double flux, le besoin de chauffage atteint un niveau inférieur à 15 kWh/m2 par an (premier critère pour obtenir le label Passivhaus). Le suivi des consommations prévu sur 3 ans après la livraison (en 2017) de ce tout premier bâtiment passif social confirme déjà la pertinence des solutions mises en œuvre.
Et comme le souligne le bureau d'études thermiques et environnement Hinoki qui a contribué au projet, celui-ci "s'inscrit dans une volonté de tester le label Passivhaus en logement social et d'anticiper les futurs standards de construction."
(Crédits photos Le Mouvement Perpétuel à Rennes : Alexandre Wasilewski)